mercredi 13 mars 2013

Report du cours de ce mercredi

Comme je vous l'expliquais dans mon courrièl d'hier soir, je n'ai pas pu rentrer ce matin pour le cours. Je contacte l'administration de l'INSEEC pour convenir d'un nouvel horaire. 
Le Cours de Vendredi est évidemment maintenu. 
En vous présentant toutes mes excuses pour ce retard dépendant plus de la neige que de ma volonté

mercredi 6 mars 2013

Etat des lieux


MARSEILLE PROVENCE 2013
1)    Présentation de Marseille Provence 2013

a.    Capitale Européenne de la culture :

-       Titre attribué pour 1 an à une ville européenne
-       Lancé le 13 juin 1985 par le conseil des ministres d’ UE sur l’initiative de la ministre grecque de la culture Mélina Mercouri et de Jack Lang, dans le but de rapprocher les citoyens de l’union européenne.
-       Nomination sur la base d’un programme culturel que la ville s’engage à mettre en œuvre pour l’année en question.

-       richesse et diversité des cultures européenne
-       un des événements culturels les plus prestigieux et les plus en vue en Europe
-       + de 40 villes ont déjà obtenu le titre
-       Ville choisie pour ce qu’elle prévoit de faire et non sur ce qu’elle est
-       Perspectives : renforcer coopération entre tous les acteurs de la culture, Faire ressortir la richesse de la diversité culturelle en Europe, Mettre en évidence les aspects communs des cultures européennes
-       Critères : Thème présentés dans le programme et leur organisation / caractère durable (développement social) / budget fiable / bonne stratégie de communication
-       Objectifs : célébrer les liens culturels qui unissent l’Europe / renforcer le sentiment de citoyenneté européenne / redynamiser les villes / renforcer leur visibilité au niveau international.
-       Sélection : 4 ans à l’avance

Cette année les 2 capitales européennes de la culture sont Marseille Provence (France) et Koscice (Slovaquie).
b.    Marseille Provence 2013 :

-       MP13 = une centaine de manifestations culturelles et artistiques dans les musées, théâtres, en plein air, dans la nature
-       MP13 = point de rencontre culturel, politique, économique
-       « Rapprocher Arles la romaine, Salon-de-Provence la médiévale, Martigues et Istres les industrielles, Aix en Provence la culturelle, Aubagne la terrienne et Marseille la Grecque »
ð Site de Marseille Provence
Week end d’ouverture (12 et 13 janvier 2013), fréquentation : 600 000 personnes
Les Partenaires : Fondation Crédit Agricole Alpes Provence / Orange / Accor (fournisseur officiel) / La Poste / Société Marseillaise de Crédit / Eurocopter / EDF
Conseil d’administration : Jacques Pfister, Président (Chambre de commerce et d’industrie Marseille-Provence)
97 communes (intercommunalités) autour de Marseille : Marseille Provence Métropole, Pays d’Aix, Agglopole Provence, Payse d’Aubagne, Arles, Pays de Martigues, Ouest Provence.
Aurélie Filippetti a réaffirmé l’engagement de l’Etat aux côtés de l’association :
« L’Etat est intervenu en participant significativement, et dans une logique interministérielle, au budget d’activité de l’année Capitale. Il le fait aux cotés d’un engagement très fort de l’ensemble des collectivités territoriales impliquées et des entreprises qui, par un mécénat conséquent qu’il convient de saluer, apportent leur concours essentiel à ces projets de développement. »
Il s’agit d’abord d’un projet d’ambition européenne « Ce label revêt aussi une signification particulière, à un moment où la culture et l'art apparaissent plus indispensables que jamais, à la fois dans la recherche de sens collectif que comme moteur de transformation de sociétés confrontées à la grave crise que nous traversons. Car l’Europe que nous souhaitons ne se fera pas sans la culture et la culture a besoin de l’Europe. » Il s’agit ensuite d’un projet culturel pour un projet de territoire qui repose sur des investissements majeurs
« La Capitale européenne de la culture a dynamisé le territoire et a permis à de nombreux projets de voir le jour. La région profite de cet événement pour se doter de nombreux équipements culturels signés de grands noms de l’architecture : la Villa Méditerranée de Stefano Boeri, le Fonds Régional d’Art Contemporain ProvenceAlpes-Côte d’Azur et le Conservatoire d’Aix-en-Provence de Kengo Kuma. Le MuCEM de Rudy Ricciotti et son Centre de Conservation et de Ressources de Corinne Vezzoni, qui nous accueille, en est un des exemples les plus emblématiques. ».
Marseille-Provence : carrefour des cultures, porteur d’avenir « L'année Capitale européenne de la culture est, à ce titre, une opportunité car elle constitue un point de départ, plus encore qu’un aboutissement. C’est pourquoi j’ai tenu à établir, en venant ici pour ce coup d’envoi avec nos partenaires, les enjeux pour l’avenir et ceci dans la perspective stratégique initiée par le Premier Ministre pour l’agglomération. Il est essentiel que nous bâtissions ensemble les conditions de l’après 2013 de Marseille Provence afin de fixer les lignes de force de cette structuration durable. »
2)    Positionnement et stratégie de communication

a.    Le site Internet Marseille Provence 2013
- Language Issues : Other Europeans languages missing 
·      German (1st most spoken language in Europe)
·      Italian (4th)
·      Spanish (5th)
Everything is not translated:
è Agenda Tickets Tab: “ translation in progress”
è A lot of information on the home page are not translated
è Pratical informations of Pavillon M Marseille are not translated

b.    Stratégie de communication
Concept de communication : détourner les clichés sur Marseille et le Sud
Outils de communication :

-       Une stratégie sur le web et participative : http://www.blog-territorial.com/article-33847339.html

Conclusion : le discours manque de cohérence et il est difficile de ressortir un positionnement clair des divers outils de communication utilisés. Le message est brouillé et la charte graphique confuse ce qui ne permet pas d’identifier clairement Marseille Provence 2013. Le double discours Marseille Provence et Marseille Méditerranée reste perturbant et empêche de visualiser clairement les objectifs politiques et économiques de cet événement culturel européen. Enfin, la stratégie de communication semble essentiellement destinée à la France et peu tournée vers l’Europe comme le montre notamment le slogan des affiches, dont le jeu de mot est seulement compréhensible par des Français. L’utilisation du web montre une certaine envie de s’ouvrir aux nouvelles possibilités des outils numériques mais ne paraît pas maitrisée dans le sens où les messages sont souvent confus et où les outils manquent de lien et d’interaction (ex site web + Facebook).

mardi 5 mars 2013

European capital of culture : a local business

Articles showing how the european press always care about what happens in its country. 

In Slovakia, focus on Kosice :
http://www.presseurop.eu/en/content/article/3287781-sigh-kosice

En France :
un onglet dédié à Marseille Provence 2013 sur le site du Monde : http://www.lemonde.fr/marseille-provence-2013/
une émission France Info ne mentionne pas Kosice : http://www.franceinfo.fr/evenement-evenement-marseille-provence-2013-%E2%80%A2-capitale-europeenne-de-la-culture
un dp Marseille Provence 2013 : http://www.mp2013.fr/pro/files/2012/07/MP2013-24p-dpsynthese-page.pdf

Et la Provence ? un article de la Provence met en avant Marseille en oubliant la Provence : http://www.laprovence.com/marseille-2013










vendredi 1 mars 2013

Quelques liens utiles sur la Presse en Europe

Les plus grands groupes de médias en Europe


Les plus grands groupes de médias en Europe
Bertelsmann, Vivendi et Lagardère sont les trois plus grands groupes de médias sur le marché européen. Avec quelles entreprises se partagent-ils le marché européen ? Et quelle est la part des groupes médiatiques européens dans le marché global des médias ?



Les 50 entreprises médiatiques les plus actives au monde ont produit ensemble en 2006 un chiffre d'affaires de plus de 360 milliards d'euros. 71 pour cent de cela, voire 255 milliards d'euros échoient à des entreprises non européennes. Le groupe des entreprises non européennes est dominée clairement par les Etats-Unis, autant en ce qui concerne le nombre des entreprises que les chiffres d'affaires réalisés. Des 30 entreprises non européennes, vingt venaient des Etats-Unis en 2006, six du Japon et deux d'Australie ; une entreprise vient du Canada et une du Mexique.

Les vingt entreprises nord-américaines ont réalisé un chiffre d'affaires de 194 milliards d'euros. Il était ainsi de 84 pour cent supérieur au chiffre d'affaires des vingt entreprises européennes les plus actives. Les entreprises européennes ont eu, avec un chiffre d'affaires de quelques 105 milliards d'euros, une part de 29,2 pour cent aux chiffres d'affaires totaux des 50 groupes médiatiques les plus actifs au monde.

Sur les vingt entreprises européennes les plus actives, huit venaient de Grande-Bretagne en 2006, respectivement trois d'Allemagne, de France et d'Italie, ainsi que deux des Pays-Bas ; une entreprise avait son siège principal en Espagne.

L'entreprise européenne la plus active est la Bertelsmann AG en Allemagne. Avec un chiffre d'affaires de plus de 19 milliards d'euros, elle a été en 2006 responsable de 18,3 pour cent des chiffres d'affaires totaux des vingt groupes médiatiques européens les plus actifs. Venaient ensuite Vivendi et Lagardère en France avec 8,9 et 7,7 pour cent, ainsi que le Reed Elsevier Group et Pearson en Grande-Bretagne, avec une part de 7,2 et 6,2 pour cent aux chiffres d'affaires totaux. Les quinze autres entreprises européennes ont réalisé ensemble un chiffre d'affaires de plus de 54 milliards d'euros.

Il existe de grandes différences concernant la part des chiffres d'affaires dans le pays d'origine respectif aux chiffres d'affaires totaux des entreprises. Tandis que chez Vivendi, 62 pour cent des chiffres d'affaires échoient au pays d'origine France, la part correspondante du Reed Elsevier Group est de seulement 16,6 pour cent. Le groupe médiatique européen le plus actif a réalisé en 2006 30,6 pour cent de ses chiffres d'affaires dans le pays d'origine Allemagne.
De grandes différences existent tout autant pour les parts de chiffre d'affaires respectives des champs d'activités isolés.

Indépendamment des chiffres d'affaires dans le pays d'origine respectif, les groupes de médias européens leaders ont souvent une position dominante sur des marchés médiatiques étrangers. Par exemple des entreprises du groupe Bertelsmann dans cinq Etats européens sont parmi les trois plus gros offrants dans au moins un des différents secteurs médiatiques.
Justement les Etats est-européens de l'UE sont concernés par la prédominance de groupes médiatiques occidentaux. Dans plus de la moitié de ces Etats, des entreprises étrangères font partie des entreprises leaders sur les marchés de la télévision, de la radio, des journaux et des magazines. Tandis que les Etats baltiques représentent surtout l'objectif d'expansion d'entreprises suédoises et norvégiennes, les marchés de Pologne, de Hongrie, de Tchéquie et de Slovaquie sont dominés par des entreprises allemandes et suisses.


The medium is the message


The medium is the message
Sources : From Wikipedia, the free encyclopedia

"The medium is the message" is a phrase coined by Marshall McLuhan meaning that the form of a medium embeds itself in the message, creating a symbiotic relationship by which the medium influences how the message is perceived.
The phrase was introduced in his most widely known book, Understanding Media: The Extensions of Man, published in 1964. McLuhan proposes that a medium itself, not the content it carries, should be the focus of study. He said that a medium affects the society in which it plays a role not only by the content delivered over the medium, but also by the characteristics of the medium itself.
McLuhan frequently punned on the word "message", changing it to "mass age", "mess age", and "massage"; a later book, The Medium Is the Massage was originally to be titled The Medium is the Message, but McLuhan preferred the new title, which is said to have been a printing error.
Key Concepts
For McLuhan, it was the medium itself that shaped and controlled “the scale and form of human association and action”. Taking the movie as an example, he argued that the way this medium played with conceptions of speed and time, transformed “the world of sequence and connections into the world of creative configuration and structure.” Therefore the message of the movie medium is this transition from “lineal connections” to “configurations”.
Extending the argument for understanding the medium as the message itself, he proposed that the “content of any medium is always another medium” – thus, the content of writing is speech, print is that of writing and print itself is the content of the telegraph.
McLuhan understood "medium" in a broad sense. He identified the light bulb as a clear demonstration of the concept of “the medium is the message”. A light bulb does not have content in the way that a newspaper has articles or a television has programs, yet it is a medium that has a social effect; that is, a light bulb enables people to create spaces during nighttime that would otherwise be enveloped by darkness. He describes the light bulb as a medium without any content. McLuhan states that "a light bulb creates an environment by its mere presence.
Likewise, the message of a newscast about a heinous crime may be less about the individual news story itself — the content — and more about the change in public attitude towards crime that the newscast engenders by the fact that such crimes are in effect being brought into the home to watch over dinner.
Hence in Understanding Media, McLuhan describes the "content" of a medium as a juicy piece of meat carried by the burglar to distract the watchdog of the mind. This means that people tend to focus on the obvious, which is the content, to provide us valuable information, but in the process, we largely miss the structural changes in our affairs that are introduced subtly, or over long periods of time. As society's values, norms and ways of doing things change because of the technology, it is then we realize the social implications of the medium. These range from cultural or religious issues and historical precedents, through interplay with existing conditions, to the secondary or tertiary effects in a cascade of interactions, that we are not aware of.
Interestingly, McLuhan interpreted Cubism as announcing clearly that the medium is the message – this is because for him, Cubist art required “instant sensory awareness of the whole”[9] rather than perspective alone. In other words, with Cubism one could not ask what the artwork was about (content), but rather consider it in its entirety.

Marseille Provence 2013 in the Press


HOW THE INTERNATIONAL PRESS SEE MARSEILLE PROVENCE 2013

On the web, it is difficult to find articles from the international press focusing on Marseille Provence European Capital of Culture. The daily press in Germany, Italy, England or Spain doesn’t seem to take much care to this European event.
Moreover, when there are articles, we can notice that the point of view of the journalist is always oriented by its location. In Algeria, the angle is mainly Mediterranean, thinking of the economical and social consequences of such an event occurring in Marseille. Le Soir d’Algerie, for example, wonders how Algerian people will be able to be part of the event and how Algerian artists could be involved in this celebration http://www.pearltrees.com/#/N-fa=2134024&N-play=1&N-u=1_199300&N-f=1_4440585&N-s=1_4440585&N-p=36115172. In the US or in Germany, Marseille is often depicted as a drifting city looking for redemption and playing its last card. Both Wall Street Journal and Suddeutsche think that the main challenge of Marseille Provence is fighting against organized crime and gang killings, but with so light conviction.http://online.wsj.com/article/SB10001424052970204903804577082232304035426.html?mod=wsj_share_tweet_bot http://www.sueddeutsche.de/kultur/marseille-als-kulturhauptstadt-zwischen-gewalt-und-sonnenschein-1.1272043
Reading these international articles, we are also astonished that the focus is always on Marseille and that no journalist think about Provence. If the name of this European Capital is Marseille Provence, Marseille seems to attract all the light and Provence no to represent anything more than the region where Marseille is. Through these journalists point of view the event seems to be more Mediterranean than Provence oriented. Reading Christopher Dickey’s article in the National Geographic, only the sun appears to be “Provençal”… http://ngm.nationalgeographic.com/2012/03/marseille/dickey-text. Though, we can wonder if the name Marseille Provence is to far away from what it really is or if Marseille Provence failed in showing the role and the economical, social and political benefits for the region.  http://ansamed.ansa.it/ansamed/it/notizie/rubriche/cultura/2012/01/25/visualizza_new.html_69254863.html